Primum non nocere amplius. Pour une sobriété numérique au service de la santé durable

A l’occasion du Conseil Numérique en santé du jeudi 20 février 2020

Des exemples le montrent dans d’autres secteurs d’activité, les outils numériques peuvent réduire l’empreinte écologique du monde de la santé. Mais à quel engagement environnemental et managérial?
Comme toute démarche de développement durable est un délicat arbitrage entre des contraintes de nature différente, avant d´adapter pour l’éco-conception du numérique pour la santé sure et durable, vérifions si le principe traditionnel de la médecine en Primum non nocere amplius est suffisant ? Que peut nous apporter la réflexion éthique en iA ? 
Il ne faut jamais oublier le but de ces outils numériques: servir à l’éco-conception des pratiques et épisodes de soin.

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